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Cette habitude peut changer ta vie

Aujourd’hui j’aimerai te proposer une nouvelle habitude.

Si tu es comme moi, tu n’as pas une bonne relation avec les livres.
Tout ce qui est Victor Hugo, Baudelaire, on est d’accord pour dire que ce sont des auteurs géniaux… mais pas pour nous.
Quand j’étais au lycée et que je devais les lire, j’avais énormément de mal.
Je voyais ça comme une perte de temps.
Du coup je pensais que tous les livres étaient comme ça et que ça n’étais pas pour moi.
Jusqu’au jour où j’ai découvert des livres utiles, d’entrepreneuriat, de marketing, et autre développement personnel.
Je me suis mis à lire, à lire beaucoup.

Le problème

Le problème, c’est que je suis passé de 0 à 100km/h.
Je suis passé de quelqu’un qui ne lit jamais à quelqu’un qui lit 2h par jour.
Et forcément, j’ai fait une indigestion.
A vouloir trop lire, je me suis dégoûté de la lecture.
Mais je savais que c’était important.
Les auteurs mettent toutes leurs connaissances, tout leur savoir toutes leurs expériences de vie dans leur livre.
C’est une source de connaissance formidable.
Alors comment continuer de lire mais sans faire d’indigestion ?

Ma solution : l’habitude

La solution que j’ai trouvé, c’est de transformer la lecture en habitude.
Alors bien sûr, j’ai réduit les 2h.
Et l’habitude que je te propose aujourd’hui, c’est de lire 10 pages.
10 pages, ça peut paraître peu. Et en effet ça l’est !
En fonction du livre, lire 10 pages va te prendre entre 20 et 30min.
Et tu ne vas pas être dégoûté, ce n’est plus une lecture qui te prend toute une après-midi.
Personnellement, je lis de 22h à 22h30, c’est très agréable et, comme toute habitude, ça devient un réflexe, ce qui rend la chose encore plus facile.

Mais peut-être que tu te dis que 10 pages c’est rien du tout et ça te fera pas avancer.

Si tu peux lire plus, tant mieux.
Mais prenons en moyenne 300 pages par livre.
En lisant 10 pages par jour, tu vas livre 3650 pages par an.
Soit 12 livres.
En une seule année, tu auras lu 12 livres sans te forcer.
12 livre c’est largement suffisant pour approfondir bien plus un domaine que tes concurrents.
Et tout ça en réservant une des 48 demi-heures que tu as dans ta journée pour la lecture.

Si tu veux recevoir ce contenu directement par mail chaque jour à midi, je t’invite à rejoindre mes mails privés, cet article est directement tiré du mail que j’ai envoyé à mon club privé et c’est ce genre de contenu qui leur permet de réussir. Je fais en sorte de t’apporter un maximum de valeur alors ne passe pas à côté. Tu as juste à cliquer sur le gros bouton rouge (oui pour une fois tu as le droit de cliquer sur un gros bouton rouge, alors profite !).

Bastien

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Pourquoi tu dois imiter ce que tu consommes

1ère partie : Tu veux entreprendre

Peut-être que tu veux entreprendre, mais que tu ne sais pas par où commencer, de quoi parler ni comment en parler.
Tu as peut-être cette volonté de partager du contenu ou de créer un projet mais tu ne sais pas comment concrétiser tout ça.
Ce que je t’invite à faire, et ça peut paraître à contre courant de tout ce qu’on te dit, c’est d’imiter.
J’aimerai que tu imites les personnes qui t’inspirent, les personnes dont tu consommes le contenu régulièrement.
Bien sûr, imiter ce n’est pas copier.
Mais simplement reprend les codes, les formats et les thématiques.
Pourquoi ?
Parce que c’est ce que tu consommes le plus, inspire-toi de ce que tu consommes au quotidien. 
Si tu consommes autant quelque chose, c’est parce que les valeurs te parlent, tu aimes le format, tu aimes l’écouter.
A titre personnel, j’ai écouté des podcast pendant 3-4ans avant de me lancer.
J’ai écouter des dizaines et des dizaines d’heures de podcast.
Tous mes trajets en voiture, souvent le soir aussi.
Et j’aime énormément ce format, que ce soit à l’écoute ou à l’enregistrement.
Comme j’en ai écouté beaucoup, je connais les codes et c’est donc plus simple pour moi de me lancer.
J’ai notamment écouté Gianni Bergandi, qui s’est lancé le défi d’enregistrer un podcast par jour pendant 1an.
Et c’est grâce à lui que je me suis lancé ce défi aussi.
Tu peux lui dire merci !
Maintenant, que faire si tu es déjà lancé ?

2ème partie : Tu entreprends déjà

Peut-être que tu entreprends déjà.
Mais que tu stagnes.
Soit tu es motivé mais c’est ton contenu qui stagne, au niveau de l’audience, des vues, des abonnés.
Ou soit c’est toi qui n’est plus motivé à continuer, ça te saoul, ça ne te parle plus.
Eh bien pour ces deux cas, imite aussi tes modèles.
Réfléchis à ce que tu écoutes le plus et pourquoi tu l’écoutes.
Note ce qui te plait dans ce que tu consommes.
Note les valeurs que ce que tu consommes véhicule.
A titre personnel, je consommes ENORMEMENT, d’interviews et surtout d’interviews d’humoristes.
Et tu vas me dire qu’il n’y a aucun rapport avec mon domaine. Tu as raison.
Mais c’est ça qui est génial.
Parce qu’au lieu de m’inspirer des concurrents et de faire partie d’un serpent qui se mord la queue en reprenant ce qu’un autre a repris et en parlant des mêmes sujets.
Au lieu de ça, j’apporte de nouvelles valeurs, j’apporte une touche de nouveauté à mon échelle.
Et ce que j’ai appris surtout en écoutant ces humoristes, c’est que je partageais la même valeur du travail.
Cette valeur c’est qu’il faut sans cesses tester, pour eux c’est les blagues, et en les confrontants au public, tu as des retours et tu améliores pour ensuite proposer quelque chose de mieux.
J’ai cette valeur avec mon contenu que je te propose tous les jours.
Et j’essaye de transmettre cette valeurs à travers ce que je partage.

Alors je t’invite à essayer de comprendre pourquoi tu consommes quelque chose tous les jours et d’essayer d’en tirer les codes qui te plaisent pour les adapter à tes projets à toi.
Je te dis à demain, d’ici là, fais ce travail, tu me remercieras plus tard.

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Bastien

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Voir la vie comme WoW

Peut-être que de nos jours, tu vois les objectifs comme des montages inatteignables, que tu ne sais pas où aller, comment y aller et pourquoi y aller.
Peut-être que tu paniques parce que tu n’as pas les compétences nécessaires pour atteindre ton but ultime, ou pas les moyens d’acheter le matériel nécéssaire.
J’étais comme toi il y a encore quelque mois.
J’avais mon objectif ultime, être libre et pouvoir gagner de l’argent (ou assez d’argent) pour me permettre de travailler sur des projets coup de coeur sans penser au côté financier.
Mais comment arriver à ce résultat ?

Changeons de réalité

Imagine maintenant que tu es dans un jeu vidéo, le genre de jeu où tu incarne un personnage, comme World of Warcraft.
Au début du jeu, tu n’as rien, pas de compétences, pas de matériel et pas d’argent.
T’es à poil, on est tous à poil au début.
Le premier truc à faire, c’est choisir sa classe, sa faction.
Tu veux être un guerrier, un mage, un paladin, etc.
Pour toi, ça va être choisir ton business ou ton domaine, tu veux être dans le sport, dans le marketing, dans la moto, peu importe, choisi juste le domaine que tu aimes le plus.
Maintenant que tu as choisi ta classe, tu y vois un peu plus clair, tu as un direction, mais tu es encore à poil !

Les débuts

Pour acquérir tes premières compétences, ton premier matériel, et amasser un peu d’argent, il faut que tu fasses ta première quête.
Mais comme tu n’as ni compétence, ni matériel, il faut choisir une quête très simple.
Pour toi ça va être par exemple, créer ton compte Instagram.
Et avec cette première quête, tu vas développer une mini compétence.
Sauf que cette compétence va te permettre de faire une quête un tout petit peu plus dur.
Et comme ça tu vas te développer petit à petit.

En cours de route

A force de faire des quête de plus en plus dures, tu vas acquérir des compétences, de la confiance en soi et surtout du matériel !
Tu vas monter en niveau et tu pourras accéder à des plus grosses quêtes.
Jusqu’à ce que tu sois face à un personnage qui te donne ta quête ultime.
Tu sais que c’est là que tu dois aller, c’est en haut de cette montagne que tu dois te rendre.
Mais tu n’as pas encore le niveau.
Tu vas devoir réaliser d’autres quêtes encore pour avec les dernière compétences, le dernier matériel nécessaire et enfin avoir le niveau pour débloquer la quête.
Et j’aime bien cette notion de débloquer.
Parce que le jeu a pensé au fait que si tu te lances dans quelque chose de trop dur tu vas échouer, être frustré et abandonner.
Malheureusement dans la vraie vie on n’a rien de débloquer et on n’a pas la notion de trop dur ou non.
Du coup, bien souvent, on s’attaquer à plus fort que nous et on échoue.
L’autre piège, à l’inverse, est de toujours faire la même quête sans jamais chercher à progresser.

L’objectif final

Une fois que tu as le niveau, il se débloque.
Ça va être dur.
Il y aura du sang, des larmes et de la sueur.
Mais tu auras le niveau et tu atteindra le haut de la montagne, triomphant.
Grâce à toutes les petites quêtes qui t’ont permis d’atteindre cette objectif.

Et maintenant j’aimerai que tu commences à faire ta première quête.
Pour ça, tu vas prendre une feuille et un stylo.
Et ça tombe bien, nous sommes dimanche.
Donc tu vas noter ton objectif pour la semaine à venir, ta quête hebdomadaire.
Une fois que tu as noté ton objectif, j’aimerais qu’en dessous, tu écrives la compétence que ça va te permettre d’acquérir ou développer.
Et je veux aussi que tu écrives une difficulté que tu penses rencontrer.
Et dimanche prochain, tu tu feras le bilan, tu noteras toutes les compétences que tu as développées et tu noteras tous les obstacles auxquels tu as dû faire face.
Ça te permettra d’être de plus en plus réaliste pour les quêtes suivantes et surtout d’en choisir une légèrement plus dure.

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Bastien

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Samedi santé

Comment remplacer des mauvaises habitudes par des bonnes

Peut-être que tu as déjà eu des élans de motivation et que du jour au lendemain tu t’es mis à prendre 16 habitudes d’un coup.
Tu es passé de quelqu’un que faisait des grasses mat’ à quelqu’un qui se lève à 7h, qui se fait des oeufs, qui va courir 30min, qui fait de la méditation en rentrant et qui lit 30min.
Mais si tu as déjà fait ça, je suis prêt à parier que tu n’as pas tenu plus de 2semaines.
Parce que moi aussi j’ai déjà essayé de faire ça.
Et j’ai dû tenir 5 jours à tout casser.
Mais le problème, c’est pas toi, ni moi.
C’est pas les habitudes non plus.

Le vrai problème

C’est que personne nous a appris à prendre de bonnes habitudes.
On s’y prend très mal au début.
On voit les grands de ce monde n’avoir que des habitudes incroyables et quand on essaye de les mettre en place on ne tiens pas et on se dit qu’on réussira jamais.
Mais c’est parce qu’on voit trop grand.
On veut changer du tout au tout.

La solution

C’est tout simplement d’être réaliste.
D’accepter qu’on ne peut pas changer notre vie d’un jour à l’autre et tenir sur la durée.
Et pour commencer à changer, il faut faire un état des lieux.
Je t’invite à prendre une feuille et un stylo.
Tu vas faire 2 colonnes, dans la première tu listes toutes tes mauvaises habitudes, dans la deuxième, toutes tes bonnes.
Fais le vraiment honnêtement, tu peux me mentir, mais tu ne peux pas mentir à toi-même.
Une fois que tu as listé tes habitudes,
Tu vas commencer à changer.
Pour ça, pour commencer, tu vas choisir ta mauvaise habitude la plus simple à arrêter et tu vas l’arrêter.
Par exemple, si tu as l’habitude de te rendormir 10min après le réveil chaque matin, tu vas arrêter cette habitude.
Si au bout de 3 jours tu as tenu, tu peux la rayer sur la liste des habitudes et t’attaquer à une autre mauvaise habitude.
Et seulement une fois que tu en auras fini avec toutes tes mauvaises habitudes, tu pourras en rajouter des bonnes.
Parce que si tu veux tout faire en même temps tu finis par ne rien faire bien.
Donc vraiment concentre toi sur les mauvaises et crois-moi tu vas grandement améliorer ton quotidien.
Après tu pourras choisir de rajouter 30min de lecture, 5min de méditation.
Parce que oui, quand tu rajouteras de bonnes habitudes, ne sois pas trop ambitieux.
Ne te mets pas à lire 2h par jour.
Commence doucement, avec des petits objectifs.
Et si tu les valides chaque jour, tu peux les augmenter, passer de 30min de lecture à 40min de lecture, de 5min de méditation à 10min, etc.
J’espère que tu as vraiment fait l’effort de lister tes habitudes.
Je te dis à demain et d’ici là, choisi ta mauvaise habitude à arrêter.

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Bastien

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La résilience ou le pouvoir de poursuivre un « oui »

Aujourd’hui je vais tout simplement te raconter comment s’est passé la signature de mon premier contrat.

Contexte

J’ai fait du dropshipping et ce business m’a permis de connaître l’outil Facebook Ads, qui est un outil très puissant.
Et je me suis dit qu’au lieu de vendre des produits à 3€ pour les revendre 12€ en France, il fallait mieux que j’apporte de la valeur.
J’ai donc pris la décision de créer une agence SMMA (Social Media Marketing Agency) pour proposer mes services.
Ma cible ? Les commerçants de ma ville
Je voulais aider à développer les restaurants de ma ville en leur apportant une réelle valeur grâce à mes compétence en publicité Facebook.
J’ai donc cherché tous les restaurateurs avec un site web et j’ai recueilli leurs adresses mails.

Les premiers non

A ce moment là, j’ai une liste de 70 restaurants.
J’envoie manuellement un mail à chacun. 
Pas de réponse.
Je fais une premier relance.
Pas de réponse.
Je fais une deuxième relance et tu l’as deviné ?
Pas de réponse.
Et là je me dis que je fais une dernière relance, si personne ne me répond j’appelle.
J’ai eu 1 réponse, un mec qui était intéressé ! C’était tellement une petite victoire.
Mais si je m’étais arrêté au premier mail, je n’aurai rien eu.

Le deuxième non

Celui là est un peu plus subtile.
J’avais réussi à prendre rendez-vous au restaurant avec celui qui m’avait dit « oui ».
Je vais donc au restaurant pour à 14h, plein de motivation, je suis remonté à bloc la je suis chaud à me vendre.
Et la serveuse me dit que le propriétaire est parti à l’hôpital 2h avant.
J’aurai pu me dire que c’était un signe.
Mais je ne me suis pas laissé abattre et j’en ai profité pour démarcher des commerçants, au culot.
J’ai pris mon courage à 2 mains et je suis allé voir directement les gérants pour leurs proposer mes services.

Le premier oui au loin

J’ai démarché 2 commerçants et les deux m’ont dit que ça pouvait les intéresser, on s’est donc donné rendez-vous la semaine suivante (qui est cette semaine).
J’ai préparé mes présentations, j’ai fait des esquisses de publicité, j’ai fait une analyser des sites et des comptes Instagram pour proposer des modifications à faire gratuitement.
Et avec un commerçant ça s’est super bien passé.
Tellement bien qu’on a signé.
J’ai décroché mon premier contrat.
Après toutes ces portes qui se sont fermées.
Et je sais bien que je ne me suis pas pris beaucoup de refus dans l’ensemble.
Mais plein de fois j’aurai pu me dire que c’est pas fait pour moi.
Que personne n’est intéressé.

Mais j’étais convaincu.
Et pour que tu le sois aussi quand ça t’arrive, j’ai 3 questions pour toi :

1. Est-ce que mon produit ou mon service répond à un besoin DUR ?

2. Est-ce que j’ai le vocabulaire adapté à mon audience ?

3. Est-ce que je m’adresse à la bonne audience ?


Et répondant à ces 3 questions honnêtement, tu sauras où est le problème et tu pourras t’améliorer après chaque « non » pour ajuster.

J’espère t’as fait comprendre qu’il ne faut pas lâcher, que ça va finir par marcher si tu crois en toi.

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Pourquoi trouver des gens comme toi

Aujourd’hui je vais te parler d’un problème que tu vis forcément en tant qu’entrepreneur. 
J’ai trouvé une solution qui marche pour moi et qui, je pense, marchera pour toi.

La vie d’un OVNI

Forcément, en tant qu’entrepreneur tu es un OVNI dans ton entourage.
Parmi tes amis ou ta famille, personne ou presque n’entreprend.
Ce qui veut dire que personne ou presque ne te comprend.
A la rigueur, quand tout va bien, ils peuvent voir ta réussite de loin et être contents pour toi.
Mais quand tout va mal, personne n’a vécu ce que tu vis.
Personne peut te donner de bons conseils et même avec toute l’empathie du monde, c’est impossible de comprendre vraiment ce que tu traverses sans l’avoir vécu.

Et c’est dans les traversées du désert qu’il est important de bien s’entourer.

Le pouvoir des groupes

La solution que j’ai trouvé et que je te propose aujourd’hui, c’est de rejoindre des groupes d’entrepreneurs.
C’est quelque chose de tout bête.
Mais tu vas passer d’un OVNI seul dans ton coin à …
Une communauté d’aliens tous plus fous les uns que les autres.
Et pour ma part, lorsque j’ai rejoins cette communauté, j’ai ressenti un réel changement.
J’ai vu des gens comme moi, mais qui avaient réussi.
Et voir des gens qui font ce que tu fais et qui ont des résultats (ou du moins qui sont plus avancés que toi) c’est quelque chose de très motivant.
L’avantage de ce genre de communauté, c’est que tu retrouves des entrepreneurs de tous les niveaux.
Aussi bien des personnes qui gagnent 50k/mois que des personnes qui en gagnent 2-3 ou encore des débutants.
Ceux qui gagnent plus de 50k peuvent t’inspirer.
Mais les plus intéressants sont les autres.
Car quelqu’un qui vit bien de la même activité que toi aura d’excellents conseils à te donner pour que toi aussi tu commences à en vivre.
Et les personnes qui sont à peine au dessus de toi auront le temps et surtout l’envie de te donner des conseils.
Elles ont de la gratitude envers les personnes qui les ont conseillées et veulent rendre la pareil.
Tu vas donc pouvoir leur voler un peu de leur temps mais ces personnes seront ravis de t’aider.
Ce que j’ai remarqué dans ces groupes d’entrepreneurs, c’est que la bienveillance règne.
Tout le monde est la pour grandir et faire grandir son business et il y a de la place pour tout le monde.
C’est une mentalité que j’ai du mal à retrouver en France mais qui fait beaucoup de bien.
Je t’invite vraiment à trouver des communautés d’entrepreneurs, dans ton domaine ou non, ça te changera la vie, et je pèse mes mots.
Tu peux en retrouver sur des forums, sur Instagram ou des sites spécialisés. Mais le meilleur endroit reste les groupes Facebook.

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Bastien

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relations

L’importance de la réthorique

Aujourd’hui ça va être un mail un peu plus léger.
Imagine un monde où tu peux gagner tous les débats.
Un monde où les gens adoptent tes idées sans les contester.
Un monde où c’est toi qui choisis le restaurant dans lequel tu sors avec tes potes.
Eh bien ce monde peut exister avec la réthorique.

Qu’est-ce que c’est ?


La rhétorique est à la fois la science et l’art de l’action du discours sur les esprits.
C’est tout simplement l’art oratoire.
En gros, savoir bien parler.
Et c’est utile dans les discours comme dans des débats ou encore simplement des conversations entre amis.
La réthorique sert vraiment dans plein de situations.
Mais le problème, c’est que cet art est trop souvent mis de côté de nos jours.
Pourtant, il peut nous servir dans pleins de situations.

Pourquoi est-il si utile ?

Comme je te l’ai dit plus haut, maitriser la réthorique va te permettre de choisir les sorties avec tes potes.
Ça va aussi te permettre de donner du poids à tes arguments si tu es à un entretien d’embauche ou pour vendre ton produit auprès d’investisseurs.
La réthorique est un véritable couteau suisse de la parole.
Mais c’est aussi important dans l’autre sens.
Connaitre les techniques de réthorique te permettra de les remarquer lorsque quelqu’un les utilisera sur toi.
Ça va te permettre de ne pas te laisser avoir lorsque quelqu’un va essayer d’exercer de l’influence et de la manipulation sur toi.
C’est important d’être éveillé par rapport à ça.
Car beaucoup de gens, surtout en politique mais pas que, maîtrisent l’art du discours, l’art de la parole.
Et rien que pour ne pas laisser trop de pouvoir à ton interlocuteur, tu dois connaître les techniques.
Si ce sujet t’intéresse, je te recommande cette chaine coup de coeur qui est celle de Victor Ferry, un prof de réthorique qui fait des vidéos géniales : https://www.youtube.com/channel/UCcueC-4NWGuPFQKzQWn5heA

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Pourquoi tu dois avoir un TMV

Aujourd’hui le mail risque d’être assez court, mais il contient beaucoup de valeur pour autant.
Mais Bastien, qu’est-ce que c’est un TMV ?

Définition


TMV : Acronyme de Travail Minimum Viable; 
Signification : La (ou les) tâche(s) minimum à accomplir chaque jour pour qu’un business continue d’avancer. Chaque tâche doit être maîtrisée et facile à faire.

Pourquoi c’est important ?

Le TMV n’est pas l’entièreté de ton business. En gros, c’est le mode économie d’énergie.
Chaque jour tu l’utilises, forcément, mais il constitue seulement une partie de ton travail.
Pour avancer tu dois faire beaucoup d’autres choses.
Mais parfois il arrive que tu tombe malade.
Que tu n’aies plus d’énergie.
Que tu n’aies pas de motivation.
Ou même que tu n’aies pas de temps.

Eh bien quand ça arrive, tu te mets en mode TMV et ça te permet de ne pas passer ton temps à culpabiliser parce que tu n’as pas travaillé pendant 12h.
Mais tu dois prendre des jours de repos, tu dois respecter ton corps si tu es malade, tu dois te changer les idées si tu n’as plus de motivation.
Et pour ça, tu as juste à appliquer ton TMV.

Mais comment le définir ?

Comment définir son TMV

Il s’agit d’actions faciles, que tu réalises tous les jours et qui apportent beaucoup de valeur à ton business.
Tu connais sûrement la loi de Pareto.
20% de tes actions font 80% de tes résultats.
Et bien là, on se base sur ça.
Tu dois définir les actions qui apportent le plus de valeur à ton business, celles qui ne te demande pas trop d’effort et qui ont un retour sur investissement très fort.
Pour te donner un exemple.
Ce week-end je n’ai pas travaillé.
Je me suis beaucoup reposé, j’en avais besoin.
Mais je n’ai pas culpabilisé parce que je connais mon TMV.
Et pour moi, il s’agit d’enregistrer un podcast, écrire ce mail, en faire un article et créer un post Instagram.
Ce sont ces 4 actions, qui sont assez simples et qui me permette d’être en mode économie d’énergie.
Parce que je maitrise ces actions à force de les répéter.
Et je sais que ce sont celles qui m’apportent le plus de résultats.
Ce sont aussi celles qui t’apportent le plus de valeur et c’est très important pour moi.

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Le piège de LA bonne idée

Aujourd’hui je vais te parler d’un piège dans lequel je suis tombé.
Et si tu n’es pas encore dans un business, c’est peut-être parce que tu es dans ce piège aussi.

Le piège de LA bonne idée

Avant de commencer à entreprendre, tu vois des Elon Musk, des Jeff Besos, etc.
Plein de gens géniaux.
Et même autour de toi je suis sûr que si tu connais des gens qui ont réussi (à leur échelle bien sûr, comme un fleuriste qui a sa boutique ou un garagiste qui a son garage) tu ne vas voir que les réussite.
Tu vas te dire que ces personnes ont eu 1 seule idée et c’était la bonne.
Du coup tu vas t’engouffrer dans une spirale où tu vas réfléchir à une idée.
Mais quand tu vas en avoir une tu vas juger que c’est pas la bonne.
Du coup tu vas chercher d’autres idées.
Mais tu vas être frustré.
Donc tu auras de moins en moins d’idée.
Et forcément, comme t’as dit non à la première, les suivantes sont pas mieux.
Et tu fais du surplace.
Et t’as pas d’idée.
Et tu finis par abandonner parce que c’est pas fait pour toi l’entrepreneuriat après tout, tu n’as pas eu « le coup de génie ».

Mais ce que ne te disent pas ton fleuriste et ton garagiste, c’est qu’ils en ont eu des idées avant.
Qui n’ont pas marché.
Mais elles les ont menés vers l’idée qu’ils ont eu après et maintenant ils ont réussi.
Et j’aimerai te parler d’un cercle vertueux.


Le cercle vertueux des idées

Dès que tu as ta première idée, tu te lances.
Peu importe si tu penses que c’est pas la bonne, au moins tu entreprends.
Et tu verras que pendant que tu travail pour réaliser ta première idée, tu en auras plein d’autres qui te viendront à l’esprit.
Dès que tu as une idée, tu la notes, mais tu restes sur ton idée principale pour y aller à fond.
Ensuite, soit ton idée a marché et c’est génial, tu as peut-être eu ce coup de génie finalement !
Ou soit tu es comme 99% des gens et tu t’es retrouvé face à un mur.

Dans ce cas la, c’est pas grave, parce que tu as noté plein d’autres idées qui attendent d’être réalisées.
Donc tu pioches une autre idée, et tu y vas à fond.
Pendant que tu seras sur cette nouvelle idée, tu vas encore en avoir plein, et tu vas bien sûr les noter.

Et au bout d’un moment il va se passer quelque chose de magique.

Les connexions

A force de noter plein d’idée, tu vas avoir un phénomène incroyable, les connexions.
En fait, au bout d’un moment, tu vas pouvoir relier des idées entre elles.
Même si tu les as notées à différents moment de ta vie, tu vas pouvoir les relier.
Et ça va devenir une évidence pour toi.
C’est comme ça que tu crées des bonnes idées.
Pas en restant assis sur ton canapé à chercher l’idée qui changera ta vie.

J’ai fais mes premières connexions il y a pas longtemps et c’est pour ça que je t’en parle.
Le sentiment est très spécial, tu ressens une espèce d’euphorie et t’es tout excité en pensant à tes idées que tu viens de relier.
Tu te dis « Mais oui, mais c’est ça en fait !!! » et tu ne tiens plus en place.
Je te souhaite vraiment de vivre ça, mais pour se faire, il faut que tu commences avec une première idée, et que tu notes toutes les suivantes.

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Bastien

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Business

Comment transformer un échec en opportunité

Pour ce dimanche, je vais te raconter ce que j’ai vécu vendredi.
(À l’heure où je t’écris ce mail on est samedi donc je vais dire « hier » mais compris bien que c’était vendredi)
Donc je te place le contexte.

Chapitre 1 : Contexte

J’ai fait beaucoup de prospection pour les commerçant de ma ville depuis 3 semaines.
J’ai envoyé 4 mails à plus de 70 restaurants.
Dans ces mails je proposais de leur faire une campagne publicitaire sur Facebook.
Et devine combien de réponse j’ai eu sur ces 4×70 = 280 mails envoyés ?

Une seule réponse.
J’ai juste un restaurateur qui m’a dit que ça l’intéressait et qu’il voulait que je passe le voir.
Et pour moi c’était déjà une grosse victoire parce que ça veut dire que ça peut intéresser des commerçants.
Donc on avait rendez-vous hier (vendredi) pour discuter de ce qu’on pourrait faire ensemble.
Le rendez-vous était à 14h.
Je m’étais préparé et j’avais même fait un petit support de présentation pour expliquer le fonctionnement, la stratégie etc.
En gros, j’étais prêt, j’étais remonté à bloc, j’étais CHAUD.

Chapitre 2 : La désillusion

On arrive au chapitre 2, le premier obstacle.
Déjà, j’avais surmonté ma peur de parler à un inconnu pour me vendre.
J’étais prêt, mais en arrivant…
La serveuse vient me voir et s’excuse.
Elle est vraiment désolée, elle s’excuse 10 fois.
Parce que le chef que je devais voir est parti à l’hôpital vraiment 2h avant.
Et moi j’ai fait la route exprès pour ce rendez-vous à la base.
Donc je ressors du restaurant avec beaucoup de frustration.
Et là je me dis, j’ai deux choix qui s’offrent à moi.

Soit je rentre chez moi, j’ai fait 2h de route pour rien, ma journée est finie, c’est un signe que c’est pas fait pour moi.
Ou soit je me dis que je suis sur place, que j’ai encore cette énergie que j’ai sollicité pour le rendez-vous et que ça serait dommage de gâcher cet élan de courage.
Grâce à tout le contenu que j’ai consommé sur le mindset, j’ai choisi la deuxième option.

Chapitre 3 : Le héros se relève

Je garde donc ce courage et je commence à parcourir les rues de la ville à la recherche d’un potentiel client.
À un moment je tombe sur une épicerie/salon de thé bio, et je trouve le magasin hyper propre, très esthétique et il me donne envie de travailler avec.
Je m’assoie donc sur le banc en face et je sors mon téléphone.
J’ai recherché leur site, il en avait un donc c’était parfait.
J’ai cherché le nom de la gérante, elle s’appelait Stéphanie.
J’avais toutes les infos nécessaires, je fonces donc dans le magasin avant de trop réfléchir et d’être paralysé par la peur.
J’arrive vers la gérante qui était à côté de la caisse et je lui dit « Bonjour, vous êtes Stéphanie ? »
Et là, directement j’ai eu son attention, elle a vu que je m’étais renseigné, que j’étais pas là pour parler à tous les commerçants et ça l’a forcé à être directement concernée (merci les livres d’influences et de manipulations).
Je me suis donc présenté et on a convenu un rendez-vous mercredi prochain pour voir ce qu’on pourrait faire ensemble.
C’était déjà une première victoire pour moi.

Chapitre 4 : L’épopée 

Ma journée était déjà compensée, j’avais réussi à transformé cette échec et à trouver un nouveau client, j’aurai pu m’arrêter là.
Mais je me suis dit « ok, t’as fait ta première fois, c’était le plus dur, ne t’arrête pas là ».


Je suis donc reparti dans les rues à la recherche d’un autre client.
Et là je passe à côté d’un magasin de vêtement avec une déco, des design et une ambiance super cool.


C’était en fait la boutique d’un skateur qui a fait sa propre marque de vêtement et l’ambiance est géniale.
Je me dis que j’ai envie de travailler avec lui et je reprends mon courage pour aller le voir.


On discute et ça se passe super bien, il est très enthousiaste à l’idée de faire de la pub Facebook, c’est nickel.


J’avais comme prétexte que je pouvais lui faire une campagne de pub pour les soldes, comme c’est bientôt.
Et là il me répond une phrase qui m’a retourné le cerveau…
Il m’a dit « mais tu fais ça que sur les soldes ou on peut faire un truc sur du long terme ».


J’ai explosé dans ma tête !


J’avais envie de lui répondre « mais même toute la vie si tu veux, plus le contrat est gros mieux c’est pour moi ! » 
Bien évidement j’ai pas répondu ça sinon il aurait fuit de son propre magasin.
Je lui ai dit que les soldes était un prétexte mais que le long terme était encore mieux pour moi.
J’ai donc un rendez-vous avec lui aussi la semaine prochaine.

Voilà comment j’ai transformé cet échec en double victoire.
Ce que je retire de cette expérience c’est qu’il faut être résiliant et toujours cherche à tirer le positif de chaque situation.
Et le second c’est que le culot a un pouvoir incroyable.
Vraiment, quand tu veux quelque chose, va le chercher au culot parce que les gens normaux n’osent pas. Le fait d’oser va surprendre les gens et ils vont voir que tu as du cran.


J’espère que tu as aimé ma présentation sous forme de chapitre, ça m’a fait rire de l’écrire comme ça du coup n’hésite pas à me dire ce que t’en penses.

Si tu veux recevoir ce contenu directement par mail chaque jour à midi, je t’invite à rejoindre mes mails privés, cet article est directement tiré du mail que j’ai envoyé à mon club privé et c’est ce genre de contenu qui leur permet de réussir. Je fais en sorte de t’apporter un maximum de valeur alors ne passe pas à côté. Tu as juste à cliquer sur le gros bouton rouge (oui pour une fois tu as le droit de cliquer sur un gros bouton rouge, alors profite !).

Bastien